développement du bébé de manger d’en manger pendant la grossesse. Mieux encore cela pourrait même vous éviter les risques d’accouchement prématuré …
Cela risque de vous surprendre, mais le poisson tout comme les fruits de mer son la seule classe alimentaire capable de couvrir à eux seuls les besoins nutritionnels des femmes enceintes. Ils leur apportent suffisamment de vitamine et de nutriments indispensable au bon développement du bébé: iodes, sélénium, vitamine D, vitamine B12 mais aussi et surtout de l’Oméga 3. Alors n’est pas une bonne idée de ne pas en consommer.
Plus c’est gras, mieux c’est !
Vous le savez certainement pendant la grossesse les besoins de la future mamans augmentent.Une enceinte c’est deux fois plus de fer et deux fois et demi plus d’Oméga 3. La bonne nouvelle nouvelle c’est que le poisson en dispose suffisamment notamment le poisson gras. Plus c’est gras, plus il en a en Oméga 3 et plus c’est bon. Les Oméga 3 ne sont rien d’autre que des graisses. Pas n’importes lesquelles, c’est parce qu’ils participent à la construction du cerveau du bébé, l’organe le plus gras du fait de la quantité très importante de graisse qu’il demande.
il est conseillé de manger aussi la peau de poisson, elle est plus gras et donc plus riche en Oméga 3.
Le poisson diminuerait aussi les risques d’accouchement prématuré !
Consommer 2 à 3 portions de poisson par semaine durant la grossesse, tel est le conseil qui ressort d’une étude publiée dans le journal Obstetrics & Gynecology. Les chercheurs américains ont montré qu’une telle consommation de poisson durant les premiers mois de grossesse permettait de prévenir les accouchements prématurés chez les femmes à risque, confirmant ainsi l’importance de la consommation d’oméga-3 durant la grossesse.
Les auteurs ont suivi 852 femmes enceintes ayant déjà accouché prématurément et ont évalué leur consommation de poisson avant la 22ème semaine de grossesse.
Résultat : le risque d’accouchement prématuré est de 35,9 % chez les femmes consommant plus d’une portion de poisson par mois, contre 48,6 % chez celles en consommant moins. La consommation de 2 à 3 portions de poisson par semaine au cours des premiers mois de grossesse est associée à une diminution de 40 % du risque de prématurité.